mercredi 29 février 2012

Les acteurs

Dans le domaine de la sécurité civile, les acteurs qui participent de proches ou de loin sont nombreux. Respectivement, ils ont chacun des rôles et des responsabilités à assumer auprès de leur population. Par contre, chaque citoyen a la responsabilité de se préparer adéquatement, de s’informer et de se munir d’une trousse d’urgence. C'est certain que les citoyens sont les acteurs les plus important étant donner ses responsabilités envers sa survie, mais aussi ceux des autres. Tout au moins, les individus peuvent compter sur les acteurs qui oeuvrent dans la sécurité civile.  Au niveau des localités et des municipalités, on retrouve un comité municipal de la sécurité civile et son coordonnateur. Ensuite, il y a la direction e l’organisation régionale. Finalement, on retrouve l’organisation nationale et gouvernementale.
Le coordonnateur municipal de la sécurité civile aussi appelé coordonnateur des mesures d’urgences : Le coordonnateur municipal assume des responsabilités autant avant qu’un sinistre arrive que pendant, en collaboration avec un comité municipal de la sécurité civile.
·         Lors de l’absence de sinistre, il doit coordonner l’élaboration et la mise à jour du plan municipal de sécurité civile.  Également, il s’assure de faire de la prévention et se charge de faire circuler des informations parmi d’autres organismes œuvrant pour la sécurité civile. Il se charge de veiller sur la collaboration des organismes, du comité, ainsi que de prévoir les ressources nécessaires en cas de sinistre.

·         Lors d’un sinistre, il a le rôle d’ouvrir le centre de coordination municipal  (CCM) ou un centre des opérations d’urgences sur le site du sinistre. Par son leadership, il doit s’assurer qu’il y ait une bonne communication entre les autres intervenants (le conseil municipal, les organismes de secours, la Croix Rouge, les experts ou les membres d’OMSC).  Par contre, en cas de sinistres majeurs ou dans les situations où le plan ne répond pas aux interventions nécessaires, le conseil municipal ou le maire détient le pourvoir de déclarer l’état d’urgence pour demander l’aide auprès des ressources gouvernementales.
Le comité municipal de la sécurité civile : Ce comité, formé d’élus et de fonctionnaires de la municipalité, détermine les orientations du plan de la sécurité civile ainsi que la préparation des ressources nécessaires lors des situations d’urgence.
L’organisation municipale de la sécurité civile (OMSC): Le rôle de l’organisation se situe par rapport aux interventions plus directes lors de l’état d’urgence. Elle inclut le coordonnateur municipal de la sécurité civile, quelques représentants des services essentiels (infirmières, pompiers, policiers etc.…) et les bénévoles.
L’organisation régionale de la sécurité civile (ORSC) : Composée de coordonnateurs régionaux de la sécurité civile, elle a le rôle de soutenir les municipalités touchées par un sinistre et veille à ce que les actions des ministères et des organismes répondent aux besoins des autorités responsables de la sécurité civile dans les territoires touchés.
Direction régionale de la sécurité civile et de la sécurité incendie (DGSCSI) : La direction soutient les activités de prévention des sinistres, de coordonner les ressources gouvernementales et d’assister les municipalités en état d’urgence.


Un centre de coordination régional lors de l'innondation en Montérégie, http://www.securitepublique.gouv.qc.ca/securite-civile/publications-statistiques-civile/inter-action/8144/8177/8179.html
Le comité de sécurité civile du Québec (CSCQ) : Ce comité est l’instance où siègent les sous-ministres et dirigeants des principaux ministères et organismes interpellés par la gestion des sinistres, de même que le coordonnateur gouvernemental. Ce comité est dirigé par le secrétaire général du gouvernement du Québec. Il a le rôle d’approuver les orientations gouvernementales en sécurité civile présentées par l’OSCQ. En cas de sinistre, il supervise les activités gouvernementales et assure la liaison avec les autorités politiques.
L’organisation de la sécurité civile du Québec (OSCQ) : L’OSCQ planifie les mesures de sécurité civile à l’échelle nationale. Lors d’un sinistre, elle met en place les mesures prévues du plan national de sécurité civile pour soutenir les régions touchées. De plus, elle maintient le lien avec d’autres partenaires externes (ressources du gouvernement du Canada, les autres provinces ou États voisines). Elle possède un lieu où les informations sont traitées appelés le centre des opérations gouvernementales.
Le gouvernement du Québec : Responsabilité de s’assurer la cohérence des actions visant à protéger les personnes, les biens, l’environnement et les collectivités contre les sinistres. Il a la responsabilité de maintenir un plan national qui consiste à prévoir et à organiser les actions concertées des ministères et des organismes publics. Il a la responsabilité de déclarer l’État D’urgence National  qui autorise le gouvernement à agir en dehors des règles habituelles dans le but de protéger les individus.

Le gouvernement du Canada : Le gouvernement fédéral a le rôle d’appuyer les provinces et les territoires. Si la situation est hors de contrôle pour les autorités provinciales, il peut intervenir dans la coordination des interventions d’urgence.


Pour conclure, la sécurité civile regorge de comité et d’organisation, passant de municipal, régional à national. D’une part et d’autres, les acteurs sont nombreux, pour ne pas dire trop nombreux. La différence est qu’un chacun a des pouvoir ou des responsabilités  limités selon leurs champs d’interventions et leurs territoires qui desservent. D’un autre point de vue, c’est à se demander si chaque acteur peut répondre efficacement ou si les actions et les mesures recommandées peuvent se contredire entre les organisations.

Gouvernement du Québec (2011), Inter-Action, Vol. 2, numéro 2, Hiver-printemps, 22 p.
Gouvernement du Québec (2009), Gestion des risques en sécurité civile, [En ligne], format PDF, http://www.securitecivile.gouv.qc.ca (Page consultée le 6 février 2012).
Gouvernement du Québec (SD), Trousse d’information pour le coordonnateur municipal de la sécurité civile, [En ligne], format PDF, http://www.securitecivile.gouv.qc.ca (Page consultée le 1 février 2012).
Sécurité publique du Québec (SD), La sécurité civile : Une responsabilité partagée, [En ligne], format PDF, http://www.msp.gouv.qc.ca/secivile.com

jeudi 23 février 2012

Les conséquences des sinistres et des interventions

À une époque où catastrophes naturelles sont de plus en plus intense et fréquent, et que les activités humaines sont plus risquées, la société peut en subir de lourdes conséquences dans plusieurs paliers. Cependant, certaines conséquences peuvent être positives, mais les médias ont une préférence pour les bilans négatifs à la suite d’une catastrophe. Dans cet ordre d’idées, je vais présenter les conséquences  des sinistres sous différents angles. En premier lieu, je vais exposer les conséquences qui portent sur les individus. Ensuite, je vais présenter les conséquences sur la société ou sur la communauté et de l’environnement. Enfin, je vais aborder les résultats possibles de diverses interventions en matière de sécurité civile et leurs effets sur la société.

Suite à un sinistre, les individus peuvent avoir plusieurs réactions suites aux stress reliés à un événement traumatisant. Certains individus peuvent ressentir un état de stress post-traumatique après un sinistre. Les symptômes, qui peuvent apparaître pendant la période de rétablissement où la vie reprend son cours normale, que les individus éprouvent sont des crises d’angoisse, des phobies, des obsessions, des cauchemars ou des flash-back etc.… Cependant, les conséquences psychologiques sont variables d’un individu à l’autre. La sécurité civile prévoit, dans son plan d’intervention, une aide psychologique pour les victimes pendant et après un sinistre. D’un autre côté, les sinistres peuvent avoir des conséquences sur la santé des individus. On peut parler d’intoxication, de blessures graves ou mineures ou même provoquer la mort. On n’a qu’à penser à la crise du verglas de 1998, certaines personnes ont été victimes d’intoxication au monoxyde de carbone suite au chauffage alternatif au propane ou aux hydrocarbures, et des intoxications alimentaires causées par la conservation des aliments dont les réfrigérateurs étaient inopérants. De plus, 4 personnes avaient perdus la vie à cause de l’hypothermie. À court terme, les sinistres peuvent produire des traumatismes physiques ou des blessures. Pendant le verglas, il y a eu des cas qui provenaient de chutes sur la glace. La priorité de la sécurité civile est de veiller à la sécurité de la population. Donc, les interventions visent à sauver des vies.

Image: http://www.radiocanada.com/
Dans une autre optique, les sinistres ont des conséquences sur la société également. Parmi les conséquences collectives, on retrouve 4 phases qui caractérisent les réactions sociales. Dans un premier temps, on retrouve le stress qui se caractérise par le tiraillement entre la fuite et le combat. Après, il y a une période de négation où la population ont tendance à nier la nouvelle situation, la phase de l’agressivité où la population cherche des coupables et où les frustrations s’accumulent dues à la dépendance de l’aide extérieur. Pendant cette période, on peut remarquer une dépression et un sentiment d’impuissance face aux conséquences socio-économiques du désastre.[1] La dernière phase est la période de résignation où la collectivité a moins d’attention de la part d’organisme, du gouvernement ou des médias. C’est à ce moment que la société se récupère. Parfois, la société peut être stigmatisée par l’évènement. C’est le cas quand le sinistre provoque des impacts négatifs sur l’attraction touristiques de la région touchée. Mais là n’est pas l’essentiel, l’environnement de la société peut être dégradés ou dévastés après un sinistre ou détruire des sites. Comme en témoigne la crise du verglas, des arbres avaient cédés sous le poids des glaces formés. Le niveau de vie de la société est touché par les dommages sur l’environnement contenu que certaines ressources proviennent de l’environnement. Alors là, on peut parler de pertes économiques. De ce point de vue, il y a toujours un coût relié au désastre.

Dans l’ensemble, les séquelles possibles peuvent se traduire de plusieurs façons suite à l’intervention de la sécurité civile. Dans l’éventualité où l’intervention a été mal faite par les autorités, il peut avoir des impacts sur la vie politique ou administrative de certains dirigeants. Le cas échéant, il peut avoir des poursuites, des suspensions, ou des démissions quand la population se plaint de la gestion. Après un sinistre, le gouvernement met en place des commissions d’enquêtes qui peuvent être coûteuse. La réputation de la ville peut être touchée et subir des conséquences comme le déménagement de ces citoyens ou la peur des nouveaux arrivants d’habiter dans la région. Selon le cas, les évacuations peuvent être faites de façons trop hâtives ou tardives. Ce qui provoque soit des blessés ou des pertes au niveau économique contenu l’ordre de l’évacuation. De plus, les évacuations peuvent entraîner une vague de criminalité dans la région. Certains malfaiteurs peuvent profiter de l’absence des autorités pour voler ou commettre des crimes. Somme toute, les conséquences des sinistres et des interventions sont nombreuses tout dépendants de chaque situation et la qualité des interventions.


[1] AUGER, Pierre L et al. (2003) Sinistres naturels et accidents technologiques, Paris, Edisem/Tec & Doc, Acton Vale, p. 517-535.

Les causes de la mise en place de la sécurité civile et les critères lors des interventions.




Dans une société où la sécurité est au cœur des préoccupations, le gouvernement met en place une gestion des risques reliée à la sécurité civile. Quand une catastrophe naturelle arrive, on a tout à gagner quand on fait preuve d’anticipation et de la prévention. La sécurité civile peut se définir comme un ensemble des actions et des moyens mis en place à tous  les niveaux de la société dans le but de connaître les risques, d’éliminer ou de réduire les probabilité d’occurrence des aléas, d’atténuer leurs effets potentiels ou, pendant et après un sinistre, de limiter les conséquences. De plus, la sécurité civile participes à la sensibilisation, à la prévention et la transmission des l’information. Pour expliquer les causes de la création de la sécurité civile, elle découle des risques qui sont le résultat de l’interaction entre aléa potentiel et la vulnérabilité. Dans un deuxième temps, je vais présenter les facteurs qui ont contribué à la mise en place de la  sécurité civile. Enfin, je vais expliquer l’intervention lors des sinistres.

D’abord, la sécurité civile comporte des concepts qui sont à la base de la définition du risque. Premièrement, quand on parle d’aléa, elle fait référence à un << phénomène, une manifestation physique ou une activité humaine susceptible d’occasionner des pertes en vies humaines ou des blessures, des dommages aux biens, des perturbations sociales et économiques ou une dégradation de l’environnement. >>[1]. Il constitue un événement imprévisible dont la société doit faire face comme par exemple un séisme, une tornade ou même une rupture de barrage. Cependant, l’imprévisibilité n’est pas le seul caractéristique d’un aléa, il inclut aussi l’intensité des d’un phénomène par exemple la crise du verglas. Avec le climat hivernal au Québec, on s’attend à avoir du verglas de temps en temps. Sauf que pendant la crise du verglas, les précipitations étaient plus importantes que d’habitude. Ensuite, la vulnérabilité est essentiellement <<une condition résultant de facteurs physiques, sociaux, économique ou environnementaux, qui prédispose les éléments exposés à la manifestation d’un aléa à subir des préjudices ou des dommages>>[2]. Ainsi, elle traite des événements qui peuvent être probable dans le milieu géographique. Par exemple, l’implantation d’une usine de production de matière dangereuse est un facteur qui peut occasionner un aléa. En conséquence, la combinaison de la vulnérabilité d’un milieu et d’un aléa potentiel caractérise le risque. Avec l’anticipation de la vulnérabilité et des aléas, La sécurité civile peut mettre en place des plans d’intervention et la gestion des risques afin d’éviter les pertes humaines, économiques ou environnementales. Cependant, d’autres facteurs contribuent aux risques que la société peut subir.

Image: http://www.québecweb.com/
Dans un second plan, d’autres prédispositions peuvent venir alimenter les risques à prévoir. Parmi les raisons de la mise d’une sécurité civile, on retrouve les changements climatiques qui provoquent des sinistres de plus en plus fréquents, et dont l’intensité augmente avec ce phénomène. Avec l’amplification des activités anthropologiques (par exemple, l’augmentation des gaz à effet de serre), ils engendrent des perturbations environnementales qui peuvent amener à des sinistres. On n’à penser à la fonte des glaciers qui peuvent produire des inondations,  des cyclones, ou des tsunamis.[3] Un autre facteur de risques qui a contribué à la création de la sécurité civile est les infrastructures et les bâtiments trop vieux. Dans cette perspective, les constructions de l’homme peuvent ne plus répondre ou faire face aux risques ce qui peut éventuellement amener à des sinistres. C’est le cas, par exemple, de l’effondrement d’un pont dans les échangeurs qui ne peut plus prendre autant de charges qu’à ces débuts. Ensuite, le développement des activités humaines peut contribuer à l’émergence des risques. Cela peut être autant la déforestation, l’exploitation des matières dangereuses que la circulation de la population qui peut occasionner une pandémie. Finalement, la dépendance à la technologie a également son lot de risque pour les individus comme c’est le cas pour l’électricité.


En dernier lieu, il y a différents seuils d’intervention à la suite des sinistres. Selon le plan des mesures d’urgences et des plans municipaux de la sécurité civile de chaque municipal, les autorités ont toutes leurs manières de procéder selon les ressources à leurs dispositions et de leur réglementation en matière de sécurité civile. En fait, c’est le rôle des autorités qui détiennent le pouvoir de décider quand déclarer l’état d’urgence et ordonner l’intervention. Dans les interventions, ils doivent suivre un plan dont les risques ont été supposés, toujours en voulant éviter que ça arrive ou pour en atténuer les effets. En outre, le plan prévoit les ressources et la structure de l’organisation des interventions adaptée selon la vulnérabilité de chaque municipalité ou communauté. Lors des évacuations, quelques facteurs sont tenus compte comme le temps disponible, les ressources disponibles, la sécurité et l’intégrité des personnes à évacuer et l’avis des experts. Généralement, ils informent la population par radio ou avec des camions avec des haut-parleurs. Pour en savoir plus, le coordonnateur municipal de la sécurité civile détient le plan d’intervention en cas de sinistre et peut répondre aux questionnements par rapport aux interventions en cas de sinistre.

[1]  Approche et principes en sécurité civile, 2009,  Sécurité publique Québec
[2] Idem
[3] Des catastrophes naturelles?, 2006, RAMADE, François chapitre 5.4.

mercredi 8 février 2012

Mes références préférées

Pour faire suite à la recherche documentaire, 5 articles m’ont permis de mieux cerner mon sujet qui est la sécurité civile et son intervention a la suite d’un sinistre.

Dans un premier temps, le Guide pratique du consommateur; Situations d’urgence apporte des conseils judicieux pour les citoyens sur des circonstances atténuantes aux quelles ils peuvent être confrontés. Ce petit guide explique comment faire face aux urgences, de même que dans les catastrophes naturelles et les feux de forêts. Le seul inconvénient est la date de sortie du livre, datée de 1995.

De plus, le livre 100 Catastrophes naturelles démontre plusieurs événements funestes qui a frappé l’humanité allant de l’éruption du Yellowstone, il y a 650 000 ans au tsunami qui a fait des ravages en Indonésie en 2006. De même que la crise du verglas, que le Québec a connus en 1998, est abordé. Dans l’ensemble, le livre est agrémenté d’images et des photos saisissantes et troublantes.




Pour présenter la sécurité civile

Comme dernier document, je présente, une publication du Gouvernement du Québec, Approche et principes en sécurité civile qui présente un portrait moderne de la sécurité civile. De plus, ce document propose un glossaire des terminologies utilisées en sécurité civile.

                                                Pour gérer les risques

Pour mieux cerner mon sujet de recherche, le site de la sécurité civile du Québec m’a permis de m'apprendre un peu plus sur la sécurité civile et son organisation.  Parmi les documents recueilles, la Gestion des risques en sécurité civile traite des conditions et mesure à mettre en place par les organisations ou collectivité dans le but de protéger les individus, les biens et l’environnement contre des éventuelles sinistres. Ce document démontre une approche sur la gestion des risques, en matière de sécurité civile.


Pour répondre au sinistre

Dans le même site, la Trousse d’information pour le coordonnateur municipal de la sécurité civile propose des renseignements sur intervention des autorités lors d’un sinistre et des rôles des autres organismes. De plus, la déclaration de l’état d’urgence et l’aide financière après un sinistres font partis des sujet aborder dans le document.

Référence:

Gouvernement du Québec : Office de la protection du consommateur (1995) Guide pratique du consommateur : Situations d’Urgence, Québec, Collection Protégez-vous, 192 p.

VIGUÉ, Jordi (2007), 100 Catastrophes naturelles, Paris, Éditions Gründ, 207 p.

Sécurité publique du Québec (2009), Approche et principes en sécurité civile, [En ligne], http://www.securitépublique.gouv.qc.ca/securite-civile/publications-statistiques-civile/ (Page consultée de 6 février 2012)

Gouvernement du Québec (2009), Gestion des risques en sécurité civile, [En ligne], format PDF, http://www.securitecivile.gouv.qc.ca (Page consultée le 6 février 2012).

Gouvernement du Québec (SD), Trousse d’information pour le coordonnateur municipal de la sécurité civile, [En ligne], format PDF, http://www.securitecivile.gouv.qc.ca (Page consultée le 1 février 2012).